A 8h10, hier matin un train est tombé en panne en gare de Bois Colombes ce qui a fortement perturbé la circulation des trains de la ligne J. Il s’agissait d’un problème d’impossibilité de fermer le disjoncteur sur l’engin moteur.
Après quelques essais, le conducteur a fait une demande de secours. Le train a donc dû être poussé par un autre train qui le suivait et pour lequel nous avons fait descendre les clients.
Les gares de Colombes et Bois Colombes n’ont pas été desservies dans le sens Ermont Eaubonne – Paris entre 8h15 et 10h pour permettre le dépannage de ce train.
En tout, le dépannage a duré presque 2h, ce qui doit paraître long, mais qui s’explique par les nombreuses opérations de protection des circulations qui sont indispensables pour votre sécurité puis par toutes les opérations d’accroche qui sont toujours longues.
Comme d’habitude, nous lançons une analyse de l’incident d’un point de vue de l’information : toutes vos remontées sont les bienvenues si elles nous aident à comprendre mieux votre perception.
Comment doit-on comprendre votre phrase « Le train a donc dû être poussé par un autre train qui le suivait et pour lequel nous avons fait descendre les clients. » ? Cela veut-il dire que les clients des deux trains ont dû quitter les voitures ou seulement ceux d’un des deux convois et, dans ce dernier cas, duquel ?
Les agents de sureté de SNCF sillonnent le réseau en uniforme.
Dés leur entrée dans une rame, les personnes faisant de la mendicité agressive, redeviennent des voyageurs lambda et deviennent indétectables par la police ferroviaire.
Pourquoi la SNCF n’autorise pas ses agants de sureté à travailler en civil ?
Pourquoi Transilien SNCF laisse-t-il se développer massivement sur ses lignes la mendicité agressive ?